Carteret vu par LALYRE
En 1899, Adolphe LALYRE achète un terrain à Carteret, il y fait construire une maison qu’il appelle « le château des Sirènes. »
Achevée en 1903, c’est lui-même qui a dessiné les plans de ce « château » avec sa tour crénelée et un immense atelier aux larges baies vitrées qui lui offre une vue imprenable sur le havre de Carteret et la plage de Barneville jusqu’à Portbail.
Né le 01.10.1848, à Rouvres dans la Meuse, Adolphe LALYRE, de son vrai nom LALIRE, est peintre, dessinateur et critique d’art.
Il reçoit le 1er prix de dessin de l’Académie de Nancy puis le premier prix à l’école des Beaux-arts de Paris. Il expose à de nombreux salons et reçoit des médailles aux expositions universelles de Paris en 1889 et 1900.
Il partage son temps entre ses deux ateliers, celui de Courbevoie et celui de Carteret.
En 1886, il épouse Marthe LEVESQUES, fille d’un médecin militaire, elle a étudié le dessin et exposera au Salon entre 1887 et 1910 des dessins et aquarelles.
Inspiré par la mode de l’époque de l’Art nouveau et du symbolisme, portraits, peintures religieuses, nus et sirènes, ont fait la gloire et la fortune de LALYRE, surnommé à juste titre le « peintre des sirènes ».
Sur les 1500 toiles lui étant attribuées, une centaine concernait des paysages de Carteret.
Malheureusement, de nombreuses œuvres furent détruites ou disparurent pendant la guerre à cause des bombardements ou des pillages.
Critique d’art, il publie « Le nu féminin à travers les âges, chez tous les peuples » en 1910.
Il meurt, à Courbevoie, le 23 janvier 1933 et repose, avec son épouse et sa famille, au Père Lachaise.
Achevée en 1903, c’est lui-même qui a dessiné les plans de ce « château » avec sa tour crénelée et un immense atelier aux larges baies vitrées qui lui offre une vue imprenable sur le havre de Carteret et la plage de Barneville jusqu’à Portbail.
Né le 01.10.1848, à Rouvres dans la Meuse, Adolphe LALYRE, de son vrai nom LALIRE, est peintre, dessinateur et critique d’art.
Il reçoit le 1er prix de dessin de l’Académie de Nancy puis le premier prix à l’école des Beaux-arts de Paris. Il expose à de nombreux salons et reçoit des médailles aux expositions universelles de Paris en 1889 et 1900.
Il partage son temps entre ses deux ateliers, celui de Courbevoie et celui de Carteret.
En 1886, il épouse Marthe LEVESQUES, fille d’un médecin militaire, elle a étudié le dessin et exposera au Salon entre 1887 et 1910 des dessins et aquarelles.
Inspiré par la mode de l’époque de l’Art nouveau et du symbolisme, portraits, peintures religieuses, nus et sirènes, ont fait la gloire et la fortune de LALYRE, surnommé à juste titre le « peintre des sirènes ».
Sur les 1500 toiles lui étant attribuées, une centaine concernait des paysages de Carteret.
Malheureusement, de nombreuses œuvres furent détruites ou disparurent pendant la guerre à cause des bombardements ou des pillages.
Critique d’art, il publie « Le nu féminin à travers les âges, chez tous les peuples » en 1910.
Il meurt, à Courbevoie, le 23 janvier 1933 et repose, avec son épouse et sa famille, au Père Lachaise.